« Ici maison de famille, on ne vend pas »
11 avril 2016
Le titre de ce billet est une inscription que j’ai notée sur une maison sur l’ancienne route de Bonabéri à Douala, au Cameroun. En parcourant plusieurs quartiers de capitales africaines, on remarque des inscriptions plus ou moins identiques. De Lomé à Douala en passant par Abidjan et bien d’autres villes, ces inscriptions sont légion. Elles font souvent rire mais elles traduisent un mal profond qui mine nos sociétés : les litiges…